| | | Ronindesnoix Lun 28/04/2014 21:19 |
| | C'était un délire d'écrit -même si mal décrit qu'on pense à des cris, rien que des yânneries, mais il est vrai et bien connu que " Cours-moi après je te fuis, et fuis-moi... ! ". Enfin bon, un jour mon père m'a dit... www.youtube...FxQ9sV0axc Alors; même si je suis seul peut-être mais pénard, que les belles tjs se font la belle, quand même je veux quand même... www.youtube...4Q7urIVYAE | |
| | Madaly Lun 28/04/2014 21:31 |
| | Un délire... Te voilà invité chez la Folie. - L'invitation de la Folie - La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle. Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa : - On joue à cache-cache ? - Cache-cache ? C'est quoi, ça ? - demanda la Curiosité. - Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à 100 et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter. Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse. - 1, 2, 3,... , la Folie commença à compter. L'Empressement se cacha le premier, n'importe où. La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher. La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient. Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99. - CENT ! cria la Folie. - Je vais commencer à chercher... La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité... Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda : - Où est l'Amour ? Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier. Elle prit un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil. La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses. Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours. | |
| | Ronindesnoix Lun 28/04/2014 21:49 |
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| | Diablotin.Fougueux Mar 29/04/2014 19:44 |
| | En attendant, elle est oùùùù la pooouuuule??? PDMC | |
| | Madaly Mer 30/04/2014 00:24 |
| | Tuée dans l'oeuf... oui, môssieur... si c'est pas malheureux des choses pareilles.. | |
| | Madaly Jeu 01/05/2014 14:56 |
| | Le loup et le chien [Conte pour un obsédé canin **sifflote**] Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le mâtin était de taille à se défendre hardiment Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. "Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée ; Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin." Le Loup reprit: "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons, Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse." Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. "Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrait pas même à ce prix un trésor." Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor. Jean de La Fontaine, Fables | |
| | Diablotin.Fougueux Jeu 01/05/2014 15:32 |
| | le conte des deux poules (pour éduquer les poules du forum)... - Camarade si tu avais deux maisons, tu en donnerais une à la révolution ? - Oui ! répond le camarade - Et si tu avais deux voitures de luxe, tu en donnerais une à la révolution ? - Oui ! répond de nouveau le camarade. - Et si tu avais un million sur ton compte en banque, tu en donnerais la moitié à la révolution? - Bien sur que je le donnerais ! répond le fier camarade. - Et si tu avais deux poules, tu en donnerais une à la révolution ? - Non ! répond le camarade. - Mais .... pourquoi tu donnerais une maison si tu en avais deux, une voiture si tu en avais deux, 500 000 si tu avais un million........et que tu ne donnerais pas une poule si tu en avais deux ? - Mais parce que les poules je les ai !!!! Moralité : "Il est toujours facile d'être socialiste avec la propriété et le travail des autres !" NB : le SOCIALISME s'arrête après avoir dépensé l'argent des autres ! ! | |
| | Madaly Jeu 01/05/2014 18:30 |
| | Je ne crois pas en la politique... et ses divisions obsolètes. Je préfère écouter Georges Carlin qui parle de son pays... ah ? Son pays ? http://dai.ly/xbjfis | |
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